Lys bio Macérât huileux de fleurs de lys Lilium candidum
La tige florifère est dressée, ramifiée, les rameaux étant bien écartés les uns des autres et couverts de poils laineux. Les capitules de fleurs jaunes sont entourées d’un involucre développé, dont les bractées extérieures, vertes, plus grandes que les autres, ressemblent aux feuilles. Les bractées intérieures portent une longue pointe piquante. Usage interne
Faire infuser 15 min, 5g d’artichaut pour 500ml d’eau chaude à boire dans la journée à la fin des repas.
- Cette plante aux tiges rougeâtres a une odeur très caractéristique.
- Les racines de ce palmier bien connu des Créoles guyanais sont prises en décoction plusieurs fois par jour, à raison de quatre à cinq racines par litre ; elles s’avèrent être un remède très efficace contre les crises de furonculose.
- Chez les Créoles, les écorces de tronc en macération dans le rhum ou le cognac sont réputées antipaludiques.
- L’extrait méthanolique des écorces et, dans une moindre mesure, les extraits dychlorométhane et acétate d’éthyle inhibent de façon significative le processus inflammatoire et ont montré une activité analgésique (Carvalho et al, 1999).
- Les Créoles utilisent le « cœur » de ce palmier comme cicatrisant, de la même façon que celui d’Euterpe oleracea (cf. supra)101.
La taxonomie de ces arbres étant complexe, aussi nous nous limiterons au genre Salix sp. En conséquence, elle n’est pas toxique, mais, à part ses belles corolles bleues,
elle https://sportnaslava.info/ n’a guère d’intérêt pharmacologique. Obtenues par macération à froid de plantes, nous garantissons des produits d’une excellente qualité aux propriétés préservées.
Famille Anacardiaceae
Au cours des siècles précédents, les navigateurs emportaient souvent cette espèce avec eux, pour les propriétés anorexiantes qu’ils lui attribuaient (Boiteau, 1972) ; elle rendait ainsi de grands services, notamment aux diabétiques. L’usage de cette plante comme antidiabétique se perpétue de nos jours dans la médecine créole des Antilles et de la Guyane. Cette plante classique de la pharmacopée créole est prise en tisane ou en looch contre les refroidissements et la grippe ; les feuilles pilées puis frictionnées sur tout le corps font tomber la fièvre32.
Dans la région du bas Oyapock, la population créole utilise l’eau contenue dans les fruits verts comme diurétique, tandis que la population brésilienne voisine utilise le même liquide comme antidiarrhéique99. Plante épiphyte commune dans le sous-bois de la forêt primaire. La plante est utilisée par les Palikur et les Créoles pour soigner les piqûres de raie (Hay. 1998) et traiter les morsures de serpent. Chez les Palikur, le pétiole est ramolli au feu, puis son contenu est appliqué, seul ou mélangé au jus de citron, sur la piqûre.
Famille Campanulaceae
Le traitement est complété par la décoction bue des jeunes rameaux. Chez les Palikur, cette espèce entrait autrefois dans la fabrication d’un poison de guerre (cf. Hura crepitans, Euphorbiacées). Chez les Palikur, l’écorce est associée à celle de Coutarea hexandra (cf. Rubiacées) pour un usage médicinal. Chez les Wayãpi, on boit la décoction de l’écorce de tronc, tandis que chez les Palikur et les Créoles, on boit une macération rapide de l’arille des graines grattées.
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Chez les Wayãpi, l’encens provenant de cette espèce est introduit à serre dans des fentes pratiquées au bout de longs bâtons qui constitueront autant de flambeaux (tuli) fichés en terre, alignés et espacés tous les mètres. Ce dispositif est utilisé en cas d’épidémie occasionnée par les esprits des morts qui s’attachent à leurs victimes. À la nuit tombée, les flambeaux odoriférants sont allumés et la population du village défile en serpentant entre eux.
Une étude des acides aminés de cette espèce a été effectuée en collaboration avec le laboratoire Roger-Bellon (Touché et al., 1981). Ce nom fait référence à la localisation fréquente de cet arbre en forêt secondaire. Espèce communément cultivée dans toute la Guyane mais croissant aussi spontanément sur les cordons sableux du littoral. Dans de bonnes conditions, devient un arbre de taille moyenne.
Ses feuilles sont allongées et étroites, vertes sur le dessus et blanchâtres et duveteuses sur le dessous. Les noyers sont des arbres largement cultivés dans le monde, ils seraient originaires du Proche-Orient. En France, il est principalement cultivé dans le Périgord et le Dauphiné.
Famille Caryophyllaceae
Les noms vulgaires employés par les Créoles anglais ou français (incense wood, bois-encens, baume cochon) sont de ce point de vue très clairs. Chez les Créoles, l’infusion de feuilles est assez appréciée en breuvage pour soigner les varices et tous les troubles de la circulation. Le Dr Richard (1937) l’indique également en tisane, pour soigner les affections pulmonaires. Petit arbre assez commun en forêt primaire et en forêt secondaire34.
Les plantes toxiques.
C’est un vermifuge réputé chez les Créoles80, conseillé surtout pour les enfants. La plante se prend en infusion ou en macération dans le rhum pour les adultes. Arbre commun des recrus forestiers ; il atteint une très grande taille en forêt primaire.